par Malou Haine, publié le 16/10/2017

Au XVIIIe siècle, plusieurs inventeurs ont cherché à mettre au point un appareil permettant de déterminer le mouvement d’un morceau de musique avec plus de précision que les simples indications allegro, andante, etc. Plusieurs appellations sont données à ces diverses inventions. Les termes présents dans la nomenclature de l’Encyclopédie sont au nombre de trois :

  • CHRONOMETRE , (Musique.) (t. III, 1753, p. 401b–402a), qui porte la marque de Rousseau.
  • ECHOMETRE , en Musique (t. V, 1755, p. 265b), qui porte la marque de Diderot.
  • MÉTROMETRE , (Musiq.) (t. X, 1765, p. 471a), non signé.

Les rubriques rassemblées ci-dessous sont communes à ces trois articles : Contexte historique ; Indications grammaticales et orthographes variées (e / é / è) ; Lexique technique ; Avatars des trois termes dans les dictionnaires postérieurs à l’Encyclopédie.

Contexte historique

Précisons d’emblée que notre exposé ci-après vise à situer les diverses inventions et à en exposer leur principe, mais non à en décrire minutieusement les mécanismes. Pour de plus amples informations, → voir la bibliographie ci-dessous.

Marin Mersenne, 1636

Une des premières propositions d’un appareil destiné à mesurer le mouvement en musique remonte à Marin Mersenne (1588-1648) qui imagine plutôt le principe d’un tel appareil et non son fonctionnement précis. Il se base sur le pendule oscillant de Galilée, suggère de fixer un poids à une corde pendue à un clou et de donner à celle-ci la longueur voulue pour que chacune de ses oscillations coïncide avec la durée de la mesure souhaitée. La longueur de la corde serait ensuite indiquée en tête de chaque composition. Voir l’ Harmonie universelle , proposition XVIII 1 :

Tous les Musiciens du monde feront chanter une mesme piece de Musique selon l’intention du Compositeur, c’est-à-dire au ton qu’il veut qu’elle chante, pourveu qu’ils cognoissent la nature du son. Une nouvelle manière de marquer, & de battre la Mesure est icy expliquée.

Étienne Loulié, 1696

En 1696, dans son ouvrage pédagogique intitulé Elements ou principes de musique (p. 81-88), le compositeur Étienne Loulié (1654-1702) décrit un appareil capable de mesurer les temps en musique. Il en explique aussi l’usage. Son chronometre met en pratique le principe énoncé par Mersenne : un pendule mobile auquel une boule de plomb est suspendue par un cordonnet oscille plus ou moins vite selon la longueur de ce cordonnet qui peut se modifier à volonté selon une échelle graduée de 72 divisions. Chaque composition musicale peut ainsi porter l’indication précise de la division souhaitée par le compositeur. Un dessin détaillé, qui occupe une page double, accompagne sa description.

Chronometre de Loulié, 1696

Joseph Sauveur, 1701

En 1701, Joseph Sauveur (1653-1716) dépose à l’Académie royale des Sciences de Paris un mémoire sur le « Système général des Intervalles des Sons » dans lequel les sections IV à VI portent sur l’echometre dérivé du pendule (voir Joseph Sauveur, 1704 , p. 317-336). Ces pages sont ainsi subdivisées : Division & usage de l’Echometre general ; Application du Système de l’Echometre général à tous les Systêmes de Musique ; Application du Systême & de l’Echometre général aux Voix & aux Instrumens de Musique.

Selon sa définition, son echometre consiste en une règle « sur laquelle sont plusieurs lignes divisées, qui servent d’Echelles pour mesurer la durée des Sons, & pour trouver leurs Intervalles & leurs Rapports ». Et d’appliquer le principe de l’echometre à tous les systèmes de musique, aux voix et aux instruments de musique. Son echometre détermine, entre autres, la durée des mesures en musique. Sa division du temps repose sur la tierce, à savoir la soixantième partie de la seconde prise comme unité de temps. Il compare son invention à celle de Loulié. Notons toutefois que le champ sémantique de l’echometre de Sauveur ne se limite pas à un appareil pour mesurer la durée des sons, mais qu’il s’applique aussi à trouver les rapports entre les intervalles.

En fin de volume, la planche II intitulée « Echelles de l’echometre général » met en parallèle la règle graduée de Sauveur avec celles existantes de l’époque. Nous en donnons ci-dessous le haut du tableau.

Joseph Sauveur, Echelles de l'echometre général, 1701.

Sauveur signale que Chapotot 2 , « un des plus habiles Ingénieur pour les Instrumens de Mathématique à Paris » a construit plusieurs échometres dont un en cuivre pour le duc d’Orléans. Le CNAM conserve aujourd’hui, sous l’appellation de « chronomètre musical », deux appareils de Chapotot en provenance de l’Académie des Sciences de Paris, l’un en bois (Hauteur : 171 cm ; largeur : 2,00 cm ; longueur : 2,50cm ; masse : 440 g. ; inv. 07523-0000), l’autre en laiton (Hauteur : 158 cm ; largeur : 1, 00 cm ; longueur : 2,00 cm ; masse : 2,410 kg ; inv. 07524-0000).

Michel L’Affilard, 1705

Le système de Sauveur (celui qui consiste à mesurer les sons) est utilisé pour la première fois par le compositeur Michel L’Affilard (vers 1656-1708) dans la sixième édition (1705) de son ouvrage Principes très faciles pour bien apprendre la Musique : un nombre (correspondant au nombre de vibrations du pendule pendant une mesure) est indiqué en tête des différents airs de morceaux illustrés 3 . À ce titre, il est le premier compositeur dans l’histoire de la musique à utiliser des « indications métronomiques », au sens moderne du terme.

Sur l’édition spécifique destinée aux « Dames religieuses » dont parle Rousseau dans l’article CHRONOMETRE, → voir le dossier critique de ce dernier à la rubrique Mentions bibliographiques.

Voici ci-dessous un exemple où le chiffre (14) surplombe l’indication de mesure 6/4.

Exemple d'une "indication métronomique" dans L'Affilard, 1705.

Louis Léon Pajot, comte d’Ons-en-Bray, 1732

Jusqu’ici, les appareils proposés sont muets. En 1732, d’Onzembray (ou plus exactement Onsenbray), alias Louis Léon Pajot, comte d’Ons-en-Bray (1678-1754) 4 , directeur général des postes, est le premier à inventer un appareil sonore, « un Métrometre, ou Machine pour battre les mesures & les temps de toutes sortes d’Airs » qu’il présente à l’Académie royale des Sciences de Paris ( Louis Leon Pajot, comte d'Onzembray, 1735 ) : « Description et usage d’un Metrometre, ou Machine pour battre les Mesures & les Temps de toutes sortes d’Airs par M. d’Onzembray ».

Son métrometre – car il en parle au masculin contrairement à l’indication grammaticale de l’Encyclopédie – consiste en un perfectionnement du chronometre de Loulié dont il détaille les composantes dans son mémoire. Les vibrations de son pendule ont une durée précise basée, ici aussi, sur des tierces et demi-tierces. L’aiguille d’un cadran indique la vitesse choisie, et un bruit se manifeste à chaque mouvement du pendule.

Métrometre de Louis Léon Pajot, comte d'Ons-en-Bray, 1732.

De plus, l’auteur fournit un tableau de plusieurs morceaux de Lully, de Collasse, de Campra, de Destouches et de Mato (sic pour Jean-Baptiste Matho) qui met en parallèle les indications de mesure données par le compositeur et celles qu’il applique avec son système.

Louis Léon Pajot, comte d'Ons-en-Bray, Durée des mesures et des temps de plusieurs airs caractéristiques, 1732.

Michel Fougeau Moralec, 1739

Michel Fougeau de Moralec (1661-1740), ancien commissaire ordinaire d’artillerie à Saumur, fait part de son invention au Mercure de France dans une lettre datée du 1er août 1739 qui est publiée en septembre1740. Sa « machine fort simple », qui ne porte pas de nom spécifique, mais qui est illustrée d’un dessin, « marque exactement toutes les differentes mesures des Airs de Musique ».

Michel Fougeau de Moralec, Machine marquant les différentes mesures des airs de musique, 1740.

Inventions postérieures à l’Encyclopédie

Dans ses « Observations sur le Chronométre » (quatrième section des Mémoires sur différens sujets de mathématiques de 1748), Diderot estimait que ce type d’invention n’avait aucun avenir. Pourtant, diverses recherches se sont poursuivies durant la seconde moitié du XVIIIe siècle afin de mettre au point un appareil satisfaisant ; citons, entre autres inventions françaises, le pendule musical de Henri-Louis Choquel (1762), celui d’un nommé Gabory (1770), le chronomètre musical de Jean-Baptiste Davaux (1784) mis au point par l’horloger neuchâtelois Abraham-Louis Breguet (1798), le plexichronomètre des frères Renaudin, sans compter quelques autres propositions anglaises et allemandes. C’est finalement le métronome inventé par le Hollandais Dietrich Nikolaus Winkel (1770-1826), mais breveté par Johann Nepomuck Maelzel (1772-1838) en 1816 qui éclipsera toutes les inventions précédentes et qui sera unanimement adopté.

Indications grammaticales et orthographes variées : e / é / è è

Si les termes échomètre, chronomètre et métromètre s’écrivent aujourd’hui et dès le début du XIXe siècle avec des accents aigu et grave, il n’en va pas de même au XVIIIe siècle. Bien que les fluctuations autour des accents (ou l’absence d’accent) pour le « e » soient courantes à cette époque, nous les indiquons pour information.

Abordons d’abord l’indication grammaticale. Seul le terme métrometre est du genre féminin dans la nomenclature de l’Encyclopédie, alors que son inventeur, le comte d’Onzenbray, en parle au masculin, de même que les dictionnaires de langue de l’époque, notamment le Dictionnaire de Trévoux et le Dictionnaire de l'Académie françoise . On peut en déduire qu’il s’agit ’une coquille.

Les trois appareils semblables qui figurent dans l’Encyclopédie n’appliquent pas les accents de manière uniforme : seul le mot vedette MÉTROMETRE prend un accent aigu sur le premier e. Les deux autres mots vedettes en sont dépourvus : ECHOMETRE et CHRONOMETRE. Si la vedette du terme ECHOMETRE ne porte aucun accent, le texte de son article mentionne l’invention par l’orthographe échometre.

Les ouvrages et mémoires des inventeurs eux-mêmes devraient pourtant prévaloir : Loulié parle du chronometre (même orthographe dans le titre écrit en capitales et le texte en bas-de-casse) ; Sauveur décrit l’echometre (même remarque) ; Onzenbray défend son métrometre (mais son titre est dépourvu d’accent).

Le Dictionnaire de Trévoux (1721) comprend le terme CHRONOMÉTRE (accent aigu) et reprend la même orthographe dans ses éditions de 1732 et 1743. Dans cette dernière édition, il introduit le nouveau terme MÉTROMÈTRE (accent aigu et accent grave). Dans l’édition de 1771 apparaît l’ÉCHOMÈTRE (accent aigu et accent grave).

En 1748, Diderot formule des observations sur le Chronométre (accent aigu) dans ses Mémoires sur différens sujets de mathématiques .

Le Dictionnaire de l'Académie françoise n’introduit qu’un seul de ces termes : le CHRONOMÈTRE apparaît dans son édition de 1762.

Dans son Dictionnaire de musique (1768), Rousseau n’utilise aucun accent dans le mot vedette CHRONOMETRE, mais son texte parle de chronomètre (accent grave) et de métromètre. Seul ECHOMETRE reste égal à lui-même dans le mot-vedette et le texte.

Dans les procès-verbaux manuscrits de l’Académie royale des Sciences, on trouve plusieurs orthographes. En résumé, on se trouve en présence de : echometre, échometre, echomètre ou encore échomètre.

Lexique technique

Les instruments évoqués dans les trois articles concernés sont les ancêtres de notre métronome. Si la nomenclature de l’Encyclopédie comprend un article MÉTRONOME, (Antiq. grecq.) (t. X, 1765, p. 471a), celui-ci n’a rien à voir avec la musique comme l’indique son désignant : il nomme ainsi chez les Athéniens les officiers chargés d’inspecter toutes les mesures, sauf celle du blé.

Le terme de métronome dans le domaine de la musique n’est pas encore en usage à l’époque, car comme nous l’avons indiqué l’invention de l’appareil utilisé de nos jours date de 1816. À l’époque de l’Encyclopédie, les appareils existant pour fixer la mesure des airs de musique portent différents noms, nous l’avons évoqué ci-dessus. Mais revenons sur ces différets termes.

Chronometre

Dans le même temps, le terme chronometre n’est pas réservé au seul domaine de la musique, mais il est aussi utilisé de manière générique pour désigner tout instrument permettant de mesurer le temps, ainsi que le définit Chambers dans la Cyclopædia en 1728. Dans le Supplement to Mr. Chambers's Cyclopædia de 1753, un paragraphe supplémentaire mentionne le chronometer de George Graham, appareil destiné aux observations astronomiques. Dans l’Encyclopédie, cette nouvelle invention est traitée dans un article séparé introduit par la vedette d’entrée Chronometre , (Horlog.) (t. III, 1753, p. 402a) qui appartient au domaine de l’horlogerie.

Aujourd’hui (2017), le chronomètre désigne un appareil servant à mesurer de manière très précise une durée de temps, mais n’est plus appliqué en musique.

Métromètre

Tel que défini dans l’Encyclopédie, le terme de métrometre s’utilise, tout comme le chronometer de Chambers, de manière générique pour décrire tout appareil capable de mesurer le temps. Le Dictionnaire de Trévoux de 1743 décrit le métromètre dans son sens étroit, celui d’une « machine nouvellement inventée pour régler la mesure d’un air de Musique » ; un renvoi dirige vers le Mercure [de France] de mai 1732, mais le nom de l’inventeur n’est pas mentionné. Le terme n’est présent dans aucune des éditions du Dictionnaire de l’Académie françoise du XVIIIe siècle ni dans celle de 1835. Il n’est pas non plus repris par Rousseau dans son Dictionnaire de musique (1768), alors que CHRONOMETRE et ECHOMETRE y figurent.

Echomètre

Quant au terme d’échomètre, il n’est présent que dans le Dictionnaire de Trévoux de 1771.

Avatars des trois termes dans les dictionnaires postérieurs

Aucun des trois termes ne figure dans la nomenclature du Supplément à l'Encyclopédie (1776-1777). Ils se retrouvent répertoriés quasiment inchangés dans l’ Encyclopédie d'Yverdon , à l’exception de quelques minimes différences stylistiques, → voir les dossiers critiques des articles CHRONOMETRE et ECHOMETRE.

Dans l’ Encyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques (t. 4, 1785), la section dévolue à l’Art du faiseur dinstrumens de musique, et Lutherie ne comprend aucun de ces trois termes. En revanche, celle relative à l’Art de lhorlogerie consacre une description au Pendule ou balancier pour la musique d’Onzenbray (t. 3, 1790, p. 279), au Chronomètre pour la musique (p. 391-393) de Davaux inventé en 1784 et réalisé par Breguet, ainsi qu’au plexichronomètre de Renaudin (p. 393). Ni le metrometre ni l’échometre n’y sont répertoriés.

Dans l’ Encyclopédie méthodique. Musique , les trois termes figurent dans la nomenclature. L’article ÉCHOMETRE est repris du Dictionnaire de musique de Rousseau sans commentaire. Celui de CHRONOMETRE, également repris de Rousseau, est abondamment commenté par Framery. Le texte du MÉTRO-MÈTRE est nouvellement rédigé par Momigny. Les deux premiers termes figurent dans le volume 1 publié en 1791 ; le dernier dans le second volume datant de 1818.

Dans l’ Encyclopédie méthodique. Physique , le terme MÉTRO-MÈTRE (t. 4, 1822) n’a plus rien à voir avec la musique ; après l’étymologie grecque, l’auteur anonyme en donne la définition suivante : « sub.mas. Mesure de mesure ou règle de la mesure ». On notera que l’appareil est à présent du genre masculin. Les deux autres termes y sont également répertoriés: CHRONOMÉTRE (t. 2, 1816), ÉCHOMÈTRE (t. 3, 1819). → Voir les dossiers critiques de ces termes.

Bibliographie (sources secondaires, ordre chronologique)

Frédéric Héllouin, « Histoire du métronome en France » Congrès d’histoire de la musique tenu à Paris à la Bibliothèque de l’Opéra du 23 au 29 juillet 1900 (VIIIe section du Congrès d’Histoire comparée). Documents, mémoires et vœux,, Imprimerie Saint-Pierre, Solesme, 1901 , p. 264-269 .

Eugène Borrel, « Les indications métronomiques laissées par les auteurs français du XVIIIe siècle » , Revue de musicologie , 9 (1928) , p. 149-153 [consulter] .

Rosamond E.M. Harding, The Metronome and it’s [sic] Precursors, Gresham Books, London, 1938 .

Ralph Kirkpatrick, « Eighteenth-Century Metronomic Indications » , Papers of the American Musicological Society , # (1938) , p. 30-50 [consulter] .

Hellmuth Christian Wolff, « Das Metronom des Louis-Léon Pajot 1735 » dans Nils Schiorring et al. (éd.), Festskrift Jens Peter Larsen, Wilhelm Hansen, Copenhague, 1972 , p. 205-217 .

Rebecca Harris-Warrick, « Interpreting Pendulum Markings for French Baroque Dance » , Historical Performance , 6 / (1993) , p. 9-22 [consulter] .

Beverly Jerold, « The French Time Devices Revisited » , Dutch Journal of Music Theory , 15 / (2010) , p. 169-189 [consulter] .


1 : Voir le Livre troisiesme des instrumens à chordes, proposition XVIII « Tous les Musiciens du monde feront chanter une mesme piece de Musique selon l’intention du Compositeur, c’est-à-dire au ton qu’il veut qu’elle chante, pourveu qu’ils cognoissent la nature du son. Une nouvelle manière de marquer, & de battre la Mesure est icy expliquée ». Corollaires III-IIII, p. 149-150.
2 : Louis Chapotot, Ingénieur pour les Instruments de mathématique, est actif au « quay de l’Horloge du Palais, à la sphère » de 1670 à 1700. Son fils Jean y est également occupé de 1676 à 1721 (voir Anthony Turner, Early Scientific Instruments 1400-1800, London, Philip Wilson/Sotheby’s Publications & New York, Harper and Row/Sotheby’s, 1987).
3 : Les différentes éditions de cet ouvrage jusqu’en 1722 ne comprennent pas toutes les explications des nombres indiqués au-dessus des airs. → voir Dossier critique de l’article CHRONOMETRE (Musique) (t. III, 1753, p. 401b).
4 : Selon les écrits d'époque, ce patronyme se trouve écrit sous diverses orthographes : comte d'Ons-en-Bray ; d'Onsenbray ; d'Onzenbray ; d'Onzembray. La dernière semble la plus répandue, alors que la première est la plus exacte, pourtant rarement utilisée.
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