par Malou Haine, publié le 05/10/2017

L’article, sans enjeu particulier, décrit brièvement l’aspect formel de l’instrument, les diverses matières dont il peut se fabriquer, sa tessiture. L’origine mythologique de son appellation est donnée, ainsi que l’usage actuel de l’instrument par les chaudronniers ambulants dont sont mentionnées deux de leurs principales occupations. Soulignons l’amusant raccourci qu’opère la fin de l’article entre le dieu Pan et le chaudronnier ambulant. N’y aurait-il pas une connotation sexuelle implicite dans ce rapprochement ?

Auteur

L’article n’est pas signé. Deux hypothèses quant à son auteur peuvent être avancées. Faut-il attribuer sa rédaction à Jaucourt qui signe l’article de l’instrument de musique synonyme, SYRINX , ( Littér. & Mythol. ) (t. XV, 1765, p. 774a) ou faut-il privilégier Diderot qui signe CHAUDERONNIER (t. III, 1753, p. 254a–b), article où il est question des chauderonniers au sifflet ? → voir dossier critique de cet article. Nous n’avons pas assez d’argument pour privilégier l’une ou l’autre de ces hypothèses.

Lexique technique : divers termes pour un même instrument

La description permet d’identifier immédiatement l’instrument que nous appelons aujourd’hui syrinx ou flûte de Pan. Elle correspond à la syrinx de type polycalame, celle faite de tubes assemblés les uns à côté des autres, par opposition à la syrinx monoxyle dont les tuyaux sont forés dans une seule pièce.

À l’époque de l’Encyclopédie, il existe une dizaine de synonymes pour nommer cet instrument : sifflet de Pan sifflet de chaud(e)ronniersifflet à l’antique sifflet des modernes – fistula des Anciensflûte de Pan – syrinx (syringe) – fretel (frestel) – fretiauflûte des bergers. L’emploi de ces différents termes n’est cependant pas totalement équivalent : le terme sifflet et ses expansions nominales s’appliquent à l’instrument du chaudronnier. Flûte de Pan apparaît plutôt comme un terme générique. Fretel, frestel, fretiau appartiennent au vieux français et sont restés en usage dans les dialectes de certaines régions.

Seuls deux de ces termes figurent dans la nomenclature de l’Encyclopédie : le Sifflet de Pan , (Luth. anc. & mod.) (t. XV, 1765, p. 182a) qui fait l’objet de ce dossier critique, et SYRINX , ( Littér. & Mythol. ) (t. XV, 1765, p. 774a), traité par Jaucourt. Si le terme syrinx désigne seulement l’instrument ancien, le double désignant de l’expression sifflet de Pan laisse penser que cette expression recouvre à la fois l’instrument ancien et l’instrument moderne ; son champ sémantique est donc plus étendu que celui de syrinx. → voir le dossier critique de SYRINX , ( Littér. & Mythol. ) (t. XV, 1765, p. 774a).

Le terme flûte de Pan n’apparaît qu’une seule fois dans l’ensemble des volumes de l’Encyclopédie, à savoir dans l’article Fistule ou Petite Flute , (Luth.) (t. VI, 1756, p. 831b).

Dans l’article CHAUDERONNIER (t. III, 1753, p. 254a–b), Diderot parle de sifflet et non de sifflet à l’antique, comme l’indiquent pourtant le Dictionnaire de Trévoux (éd. de 1721, 1732 et 1743) et le Dictionnaire universel de commerce de Savary ( 2e éd. 1726). Le Dictionnaire françois de Richelet (1680) utilise l’expression sifflet de chaudronnier. Savary en apporte une description succincte :

Le Sifflet des chauderonniers est la Fistula des Anciens ; c’est à dire un instrument composé de plusieurs tuyaux inégaux, ordinairement de sept ; tels que les Poëtes, les Peintres, & les Sculpteurs ont coûtume de représenter la flûte du Dieu Pan.

Le Dictionnaire œconomique de Chomel (1741), précieux pour les définitions de métiers, mentionne un sifflet à l’antique de sept tuyaux dont se servent les chaudronniers. Mersenne, dans l’ Harmonie universelle (t. 2, 1637, Livre V, p. 227-228) utilisait déjà les termes de flûte de Pan et sifflet de chaudronnier sans distinction apparente : ces « flustes de Pan, dont usent les Chaudronniers […] On l’appelle ordinairement sifflet de chaudronnier, par ce que ceux qui sont de ce mestier en usent & en sonnent par les ruës ».

Jacques Lacombe dans l’Art du faiseur dinstrumens de musique, et Lutherie de l’ Encyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques (1785, p. 165) fournit encore deux autres vocables pour cette flûte de Pan ou sifflet des chauderonniers : fretel ou fretiau. Ces deux derniers appartiennent davantage au vieux français ou à un emploi dialectal. Ils ne sont pas recensés dans l’Encyclopédie ni dans le Dictionnaire de Trévoux dans son édition de 1740, tandis que celle de 1743 contient FRESTEL : « Vieux mot, qui signifie la flute à sept tuyaux que les Poëtes donnent à Pan ».

Nous voici donc en présence d’une dizaine de synonymes (y compris les appellations dialectales) pour un même instrument ; celui de syrinx (syringe) est nettement réservé à l’instrument antique décrit dans les textes anciens.

Deux orthographes pour un même mot : chauderonnier ou chaudronnier ?

Dans l’article CHAUDERONNIER (t. III, 1753, p. 254a–b), Diderot utilise une seule orthographe, celle de chauderonnier. Pourtant, le Dictionnaire françois de Richelet fournit déjà en 1680 à la fois chauderonnier et chaudronnier sous une seule et même vedette d’adresse.

Le Dictionnaire universel de Furetière (1690) utilise chauderonnier, de même que le Dictionnaire de l’Académie françoise en 1694, mais celle-ci recense le terme sous chaudronnier en 1762. Le Dictionnaire de Trévoux n’introduit cette dernière orthographe que dans son édition de 1771.

Dans l’Encyclopédie, il n’y a pas d’entrée pour chaudronnier, mais cette orthographe apparaît dans une dizaine d’articles contre une quarantaine pour chauderonnier. En revanche, dans les quatre planches de ce métier (Recueil de planches, vol. III, 1763), la seule orthographe chaudronnier est utilisée, ce qui atteste d’une orthographe stabilisée en une dizaine d’années. Chauderonier, avec un seul n, est utilisé une seule fois.

Chauderonnier semble bien être une corruption du terme, d’autant que l’orthographe chaudronnier est la plus ancienne (depuis 1420) et la seule à être utilisée dans les Statuts et reglemens de la Communauté des Maistres & Marchands Chaudronniers, Batteurs & Dinandiers de la Ville & Fauxbourgs de Paris. Le Trésor de la langue française informatisé (TLFI) fait remonter le terme à 1277. Cette même plateforme ne cite pas l’autre orthographe.

Distinction entre chaudronniers sédentaires et chaudronniers ambulants

Parmi les chaudronniers, seuls les chaudronniers ambulants se servent du sifflet de Pan pour annoncer leur arrivée dans les campagnes et villes de province. Ils vendent et réparent les objets en cuivre fabriqués par les chaudronniers sédentaires qui travaillent en ville dans leur boutique. L’édition de 1721 du Dictionnaire universel de commerce de Savary distingue clairement ces deux types de chaudronniers et fournit leurs statuts ; ceux-ci restreignent les prérogatives des chaudronniers ambulants. Savary donne aussi d’intéressants détails sur ces derniers qui viennent principalement d’Auvergne. Le Dictionnaire œconomique de Chomel (suppl., t. I, 1741, p. 102) amplifie sa description :

Il y a des chauderonniers qu’on peut appeler ambulans, qui courant la campagne, leur petite boutique & bagage sur le dos, se servent d’un sifflet à l’antique de sept tuiaux pour avertir les habitants des petites Villes & des Villages où ils passent, de leur apporter à racommoder les utenciles & batteries de cuisine de cuivre ou de fer, qui en ont besoin. La plupart de ces chauderonniers ne font que le vieux, il y en a pourtant quelques-uns qui vendent du neuf, mais ceux-ci ont des chevaux de somme chargés de grands paniers d’osier, où ils mettent leurs marchandises & leurs outils. Il est défendu à tous ces chaudronniers coureurs, de siffler, de racommoder les ouvrages de chauderonnerie à Paris & dans les autres Villes du Roiaume, où les chauderonniers sont en corps de jurande ; à l’égard de ceux qui vendent du neuf, ils y sont traités comme marchands forains. La chauderonnerie fait une partie du commerce de la mercerie.

Il y a donc bien une hiérarchie entre ces deux catégories : les chaudronniers sédentaires sont protégés par les statuts de leur corporation, tandis que les autres sont assimilés aux marchands forains dont le champ d’activités est plus restreint. Ces chaudronniers ambulants portent diverses appellations : drouineur (voir le terme dans la nomenclature DROUINEUR , terme de Chauderonnier (t. V, 1755, p. 148b), chaudronniers forains ou chaudronniers colporteurs (voir Dictionnaire universel de police , t. II, 1786, p. 510). Le vieux terme français maignan et ses variantes orthographiques (maagnans, maignens, maingnens, etc.) sont également utilisés dans certaines régions. Voir le Dictionnaire ancien français & dialectes (t. 5, 1881) et le Dictionnaire des métiers d’Alfred Franklin, (1906).

→ voir dossier critique de CHAUDERONNIER (t. III, 1753, p. 254a–b).

Activités des chaudronniers ambulants 

L’article de l’Encyclopédie précise les deux principales activités des chaudronniers ambulants. La première est d’acheter et de vendre de la vieille vaisselle de cuivre ; en d’autres termes de faire le commerce des objets de cuivre usagé. La seconde peut, aujourd’hui, nous paraître curieuse, puisqu’il s’agit de châtrer les chiens et les chats.

Dans un article remarquablement documenté, l’anthropologue Claudine Vassas ( Fabre-Vassas, 1983 ) explique que la castration des porcs est confiée à un spécialiste, le châtreur qui, en France et dans la péninsule ibérique, joue de la flûte de Pan pour s’annoncer dans les villages. Depuis l’Antiquité méditerranéenne, cet instrument de musique constitue un attribut professionnel pour les châtreurs qui parcourent les campagnes ; il sert aussi à amadouer les animaux lors de l’opération. L’auteure pointe d’autres marchands ambulants qui pratiquent aussi cette petite opération chirurgicale : le marchand de tamis catalan, le marchand de flûtes en Basse-Provence et le chaudronnier dans les Cévennes, tous joueurs de flûte de Pan qui arborent l’instrument comme un emblème.

Les divers appellations dialectales de l’instrument dérivent soit de flûte, soit de sifflet, soit de châtreur. Ainsi en Espagne et en Catalogne, « la syrinx est encore dite châtreuse ou châtreur crestadora, capador —, le nom l’identifiant à la fonction » ( Fabre-Vassas, 1983 , p. 10). Une assimilation similaire se trouve dans le vieux terme français maignan (et ses variantes orthographiques) pour désigner le chaudronnier ambulant ( Dictionnaire ancien français & dialectes , t. 5, 1881, p. 74). Quelques significations particulières sont à relever : maignen dans le Jura désigne le châtreur de cochons ; magnin en Suisse romande signifie hongreur. On peut donc en déduire que ces assimilations régionales d’un terme générique utilisées de manière spécifique attestent de la pratique étendue dans ces régions du chaudronnier ambulant effectuant des castrations d’animaux. Peut-on dès lors parler de chaudronnier châtreur ? Le Dictionnaire de la campagne de l’abbé Besançon (1786, p. 394) franchit le pas dans sa définition du SIFFLET de Pan : « sorte de sifflet de chaudronnier châtreur… ».

Dans sa correspondance, D’Alembert utilise par deux fois la métaphore du chaudronnier châtreur pour illustrer le travail des censeurs castrateurs de ses écrits. Les deux passages méritent d’être cités. La première lettre, adressée à Voltaire, date du 6 avril 1773 :

C’est bien assez de me châtrer moi-même à moitié, sans qu’un commis à la douane des pensées vienne me châtrer tout-à-fait. Vous savez que la castration des chats est la besogne des chauderonniers. Ne trouvez-vous pas qu’on traite les gens de lettres comme des chats, en les livrant, pour être châtrés, aux chaudronniers de la littérature 1 .

La seconde, à peu près semblable est envoyée trois jours plus tard à Frédéric II de Prusse :

Je ne sais pas si c’est l’usage chez Votre Majesté comme en France, de livrer les chats aux chauderonniers pour la castration ; on traite ici les gens de lettres comme des chats ; on les livre, pour être mutilés, aux chaudronniers de la littérature 2 .

Dans ces deux lettres, une des activités du chaudronnier est bien la castration des chats.

Illustration d’un chaudronnier avec un sifflet de Pan

Parmi les Cris de Paris comprenant 39 gravures illustrant les métiers de rues dessinées et gravées par les frères Bonnart vers 1676 se trouve Le Chaudronier [sic]. Celui-ci tient dans sa main droite un sifflet de Pan (flûte de Pan dans notre terminologie moderne) : c’est donc bien le chaudronnier au sifflet ou chaudronnier ambulant qui est ici représenté.

Jean-Baptiste Bonnart, Le Chaudronier [sic], gravé par Henri Bonnart, extr. Les Cris de Paris, vers 1676 (BnF, Estampes, RESERVE QB-201 (67)-FOL)

Remarquons que ce chaudronnier ambulant tient dans sa main gauche et sous son coude droit des ustensiles de cuisine. Il porte sur son dos un havresac de cuir appelé drouine, et à ce titre, les chaudronniers en boutique les appellent ironiquement drouineurs, terme déjà évoqué ci-dessus. → voir notre Dossier critique DROUINEUR , terme de Chauderonnier (t. V, 1755, p. 148b).

Le sifflet de Pan de ce chaudronnier est une flûte de Pan de type monoxyle 3 , dont les tuyaux sont forés dans une seule pièce, probablement en fer blanc (mais elle peut se construire en bois, en ivoire ou en corne). De très petite taille puisqu’elle tient dans une seule main, elle produit une mélodie suraiguë, d’où ce son « rude à l’oreille » évoqué dans le quatrain placé sous le dessin.

Avec sa voix de loup garou,

Et son siflet rude à l’oreille ;

Chacun dit qu’il sçait à merveille,

Mettre la piece auprez du trou

Ce quatrain se prête à diverses interprétations. Littéralement, le texte reconnaît l’habileté du chaudronnier par ses deux derniers vers : « Chacun dit qu’il sçait à merveille… ». Mais le dernier vers peut également se comprendre comme une facétie tournant en dérision le manque de dextérité du chaudronnier si l’on considère qu’il s’agit d’une antiphrase ironique : « Mettre la piece auprez du trou » évoquerait alors la maladresse du chaudronnier pour réparer les ustensiles qui lui sont confiés. C’est l’explication avancée par le Dictionnaire universel de Furetière (1690) : « On reproche aux Chauderonniers, qu’ils sont sujets à mettre la pièce auprés du trou : ce qui se dit figurément de ceux qui racommodent [sic] mal quelques besogne que ce soit ». Cette interprétation est reprise dans le Dictionnaire de Trévoux (1721 et 1771).

De son côté, l’anthropologue Claudine Vassas que nous avons consultée (28 juillet 2016) confirme l’habileté du chaudronnier ambulant, artisan utile dans les campagnes mais redouté, ce qu’elle appelle un « homme rouge ». Elle y voit une sauvagerie vocale et musicale — « sa voix de loup garou » et « son sifflet rude à l’oreille » — expressions qui font écho à ses capacités sexuelles auprès des femmes (« Mettre la piece auprez du trou  »).

Correspondances internes à l’Encyclopédie

Aucune correspondance interne n’est explicitée. Pour compléments d’information, trois renvois auraient été possibles : à CHAUDERONNIER (t. III, 1753, p. 254a–b) puisque ce sifflet de Pan est l’attribut des chaudronniers ambulants. Également à DROUINEUR , terme de Chauderonnier (t. V, 1755, p. 148b) qui est l’appellation ironique pour ces mêmes chaudronniers ambulants. Enfin à SYRINX , ( Littér. & Mythol. ) (t. XV, 1765, p. 774a) pour les informations relatives à l’origine de l’instrument et à ses références mythologiques. Ces articles existaient déjà lors de la rédaction du volume XV : cette absence de renvois montre que des termes de domaines différents, même s’ils offrent une certaine parenté, sont rédigés individuellement sans conception globale (du moins dans ce cas-ci).

Il manque également un renvoi à la Pl. I. Lutherie, Instruments Anciens, et Etrangers, de differentes sortes. (t. V, 1767) où la figure 15 illustre un « sifflet de Pan » qui n’a droit qu’à cette brève identification parmi les explications. Ainsi placé parmi les instruments anciens, l’instrument renvoie plus spécifiquement à l’instrument de la mythologie. Cette absence de renvoi constitue un indice de la fabrique de l’Encyclopédie : cette planche a été conçue postérieurement à la rédaction de l’article.

Rédaction et source(s) compilée(s)

Le texte ne provient pas de la Cyclopædia de Chambers ni des dictionnaires de langue de l’époque.

Métamorphoses de l’Encyclopédie

Le Grand Vocabulaire françois (t. XXVI, 1773) reprend verbatim le texte de l’Encyclopédie, mais il ne lui réserve ni vedette d’adresse ni vedette d’entrée : le texte est intégré parmi les différentes définitions lexicales du sifflet.

L’ Encyclopédie d'Yverdon (t. XXXVIII, 1774, p. 55a) repend verbatim le texte avec son double désignant.

Dans le chapitre IX de l’Art du faiseur dinstrumens de musique, et Lutherie (t. 4, 1785, p. 92) de l’ Encyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques ) qui regroupe les « instruments à tuyaux et à simple embouchure », Jacques Lacombe reprend le texte avec quelques variantes. Il utilise l’orthographe syringe et non syrinx. Il arrête son texte après le mot provinces, supprimant ainsi l’indication des produits distribués par le chaudronnier ambulant et passant sous silence sa fonction de châtreur. Enfin, il précise que Pollux mentionne une syringe à sept tuyaux. Il indique aussi la manière de produire les sons.

Pour Momigny, dans Encyclopédie méthodique. Musique (t. II, 1818, p. 370a), le sifflet de Pan est utilisé à Paris par ceux qui les vendent ou qui en jouent dans les rues.

Bibliographie (sources secondaires)

Claudine Fabre-Vassas, « Le charme de la syrinx » , L’Homme. Revue française d’anthropologie , 23 / (1983) , p. 3-59 [consulter] .


1 : Copie de la lettre manuscrite originale aimablement transmise par Irène Passeron. Cette lettre est conservée à La Haye (129, G16A30, 154). Elle porte le numéro 73.40 dans Irène Passeron (dir.), Inventaire analytique de la correspondance de D’Alembert, Paris, CNRS-Editions, 2009.
2 : Voir Œuvres de Frédéric Le Grand, éd. J.F.E. Preuss, Berlin, Imprimerie royale, vol. XXIV, n°126, p. 595-597. Copie aimablement transmise par Irène Passeron. Cette lettre porte le numéro 73.41 dans Irène Passeron (dir.), Inventaire analytique de la correspondance de D’Alembert, Paris, CNRS-Editions, 2009.
3 : Le terme de syrinx monocalame est réservé à la flûte droite dans les textes grecs anciens.
projet ENCCRE ©2017